En lisant Effroyables Jardins de Michel Quint nous avons découvert que l'on pouvait devenir des héros... en étant simplement des hommes.

Ces Héros, peuvent se retrouver,  suite à des actes qu'ils ont exécutés, sans trop de conviction il est vrai, dans un "Trou" !

De ce "Trou" bien sûr ils ne peuvent en sortir ! Malheureusement ils ne sont pas seuls, il y a aussi des amis...

L'espoir vient par surprise, à l'improviste... il fait bien rire !

C'est de l'ennemi que vient l'espoir. 

Avec l'espoir on peut sortir de son "Trou".

Lorsqu'on sort de son "Trou" on s'aperçoit qu'il y a des héros.

Peut-être que ce garçon qui s'exaspère des adultes "minables" découvre la grandeur des Hommes...

Des hommes avec des défauts, des hommes qui rigolent, des hommes qui se découvrent, des hommes qui apprennent simplement à devenir.... des Hommes qui pourtant sont des...  héros !

Mais, pourquoi le Héros ne serait-il pas celui qui devient un homme celui qui transporte une valise de trésors à transmettre pour connaître la vérité et permettre d'avoir de l'espoir....

Ce livre nous a tous "bousculé".

Pour certains il est déroutant, il change aussi les valeurs : ou est le bon, ou est le méchant ?

L'introduction est anachronique, elle n'a pas sa place.

Nous y avons trouvé de l'espoir, l'espoir en l'humanité, de la tendresse aussi, beaucoup.

Pourtant l'histoire n'est-elle pas effroyable ?

L'écriture nous a dérangée, ce n'est pas bien écrit, mais nous y avons trouvé de la poésie.

Ce qui est sûr c'est un livre qu'il faut absolument découvrir. 

Nous avons essayé de faire référence à Guillaume Apollinaire pour l'explication du titre, mais nous n'y sommes pas arrivés.

En relisant, peut-être, nous seront inspirés...

Les grenadines repentantes

En est-il donc deux dans Grenade 

Qui pleurent sur ton seul péché 

Ici l'on jette la grenade

Qui se change en un oeuf coché 

Puisqu'il en nait des coqs Infante

Entends-les chanter leurs dédains

Et que la grenade est touchante

Dans nos effroyables jardins

Le film de Jean Becker, sorti en 2003, nous a mieux parlé, nous nous y sentons bien moins bousculés... 

Un oxymore, ou un oxymoron, est une figure de rhétorique, une alliance de mots désignant des réalités contradictoires ou fortement contrastées, étroitement liés par la syntaxe.  Exemples : cette obscure clarté... ce pauvre fortuné.

Un homonyme :  Les homonymes ce sont des mots qui se prononcent et parfois s'écrivent de la même façon mais qui n'ont pas le même sens.

P.S. : Ceci est une invitation à la discussion. Vous l'avez lu : votre avis nous intéresse. Si vous ne l'avez pas lu, passez les premières pages et laissez vous porter par l'Effroyable... tendresse. Utilisez le Forum. Si vous n'y arrivez pas envoyez moi un mail, je le publie ci-dessous. Michèle