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SOMMIERES ET VILLEVIEILLE Convertir en PDF Version imprimable Suggérer par mail
26.01.2012 - on s'est régalés...

VOIR ICI LES PHOTOS DE NOTRE SORTIE A SOMMIERES, VILLEVIEILLE et CLARET.

Notre journée commence par un petit café… Nous sommes en avance pour notre rendez-vous avec notre guide qui, lorsque nous la retrouvons, nous présente Vidourle ! Ah ce Vidourle il fait bien parler de lui ! Elle nous présente le pont et ses 17 arches, ou 7 ou 25 ? C’est un pont construit par les romains sous l’empereur Tibère. Il est toujours là, ce qui n’est plus le cas d’une certaine passerelle…
Nous écoutons avec émerveillement l’histoire de la cloche félée remplacée par une autre cloche félée. Ne vous trompez pas, il n’y a qu’une cloche félée à sommières.
On parle de Foire… d’une rue « chaude » et d’une pierre d’ancan où l’on vendait aussi des esclaves.
Sur une place un      représente un diable. Il tire la langue à son frère qui habite en face. Lui est catholique, l’autre est protestant. Nous sommes en pleine guerre de religion avec Montmorency avec les catholiques puis avec les protestants !
On est dans la rue des Baumes pour admirer l’Eglise lorsque le propriétaire d’un hôtel particulier nous invite à admirer justement une des Baumes qui se trouvent dans les maisons jouxtant cette rue. Quelle chance ! Nous n’aurions pas pu imaginer ces petites grottes si nous ne l’avions pas vue…
Nous montons vers le château… ou plutôt ce qu’il en reste. Nous montons dans la tour. Pas tous, quelques unes ne s’aventurent pas dans ces escaliers étroits. Mais pourquoi la porte en fer qui va vers un jardin abandonné est-elle fermée ?
Nous redescendons dans le village pour manger.
Notre rendez-vous suivant est honoré par le Chatelain de Villevieille qui nous invite dans son château datant du XIIe siècle… L’accueil est charmant, l’histoire de la famille assez grandiose mais nous avons un sentiment de respect pour la maman de notre hôte.
Un peu d’aventure pour trouver le village de Claret. Qui a donné la direction à prendre ? Enfin on se retrouve en compagnie d’un jeune homme charmant, mais qui a les mains noires, qui nous raconte l’incroyable fabrique de «l’huile de cade vraie ». Nous sommes  conquis, fascinés et captivés par ce procédé unique en Europe.
La nuit commence à tomber lorsque nous prenons le chemin de Beaucaire… Il y en a qui dorment dans les voitures : la journée a été bien remplie !
 

 
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