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DOUCE MEDITERRANEE Convertir en PDF Version imprimable Suggérer par mail
Du 03 au 10 février 2011 - Du bleu, encore du bleu et... toujours du bleu !

VOIR ICI LES PHOTOS DE NOTRE DEPART EN CROISIERE.

Nous partons vers 12 h de Beaucaire. Le trajet se fait sans souci… sauf une petite erreur d’aiguillage à l’arrivée vite corrigée… Nous voici en salle d’embarquement les formalités accomplies. Nous grignotons un petit quelque chose et « sourires » ! Les vedettes sont sur le tapis rouge.

Nous découvrons les cabines, et ensuite  nous cherchons le « théâtre Urbino », c’est là qu’on nous explique comment ne pas se noyer si le bateau coule ! Nous sommes tous au rendez-vous mais avons oublié nos gilets de sauvetage… Pas de panique, demain cours de rattrapage !Mais..  que fais-t-on du carton rouge ?

Bien rassurés sur notre avenir nous faisons le tour du bateau… Sauvés, il y en a qui ont amené leur boussole !

Le bateau est immense… 11 étages, plein de salons partout… celui où l’on danse, celui du piano bar, celui de la musique classique, celui du jazz… il y en a 10.

Bien sûr on repère le restaurant. Il faut passer du pont 3 rejoindre le salon Salento au pont 5, puis passer au Casino ensuite redescendre au 3… enfin si l’on a bien repéré dans quel sens il faut aller…

 VOIR ICI LES PHOTOS DE NOTRE VISITE A SAVONE.

Nous débarquons à Savone pour une visite découverte. Janice nous guide… Le centre le plus ancien de Savone se dressait sur le promontoire de la Priamàr où se trouvait aussi le Dôme (Cathédrale) des débuts du IXe siècle…. En 1528 Savone se rend aux Gênois et on démolit le Dôme pour y édifier une forteresse… Dans la nouvelle Cathédrale, nous y rencontrons notre guide qui nous raconte « La Grande Croix », sculptée des deux côtés dans un unique bloc de marbre avec à son sommet la coquille symbole de Saint-Jacques. Elle se trouvait auparavant à un croisement de routes.  

Nous sommes émerveillés par le cœur réalisé grâce au mécénat du Cardinal Giulano Della Rovere (futur pape Jules II). L’œuvre est riche en marqueterie en bois avec des décorations représentant des fruits, fleurs, arabesques, instruments musicaux et astrologiques mais aussi les Saints, les Apôtres, les Pères de l’Eglise, les premiers martyrs et bien sûr  les deux Papes Savonnais : Sixte IV et Jules II…  La Cathédrale de Santa Maria Assunta possède d’autres richesses comme l’orgue de Antonio Maria Aprile, la Chaire à prêcher exagonale, le bas-relief sur ardoise…

Attenante à la Cathédrale se trouve la chapelle Sixtine (commandée par Sixte IV aux sculpteurs en tant que mausolée pour ses parents).  En plus du monument funéraire et son bas-relief nous sommes émerveillés par les décorations en stucs du XVIIIe siècle et les belles fresques sur la pseudo-voûte… Nous sommes heureux de savoir que nous pourrons prochainement admirer l’Adoration de l’Enfant du Tagliafichi qui se trouve au Petit Palais d’Avignon

Après cette intéressante et inoubliable visite du « Dôme » nous montons à la Citadelle après avoir visité les « Torres » del Brandale, La Pancalda  en repérant, pas très loin la « Torretta » qui nous sert de balise pour rejoindre le Bâteau où nous allons manger.

L’après-midi est libre. Chacun ses visites préférées : le shopping pour profiter des soldes, balade sur la plage au pied de la tour de Garibaldi, ascension de la Haute Ville pour les randonneurs….

C’est un magnifique coucher de soleil qui accompagne le bateau quittant le port de Savone.

VOIR ICI LES PHOTOS DE NOTRE VISITE DE ROME.

La "ville Eternelle", ou la ville aux sept collines, Caput Mundi (capitale du monde)… Rome est à nous pour la journée.

Déjà lorsque nous montons dans le bus notre guide nous fait entrer dans l’histoire de cette ville qui fait partie des villes les plus visitées au monde. Le centre ville est classé depuis 1980 au patrimoine mondial de l’UNESCO.

Le bus nous arrête près de la Place St Pierre, c’est là notre point de rendez-vous pour ce soir.

Rome nous voilà !

Nous passons devant le Castel Sant’Angelo (Château Saint-Ange). Ancien monument romain, c’est une  légende qui  raconte une apparition de l’archange Michel remettant son épée au fourreau marquant ainsi  la fin d’une grande épidémie de peste qui lui aurait donné son nom. Des papes y ont été emprisonnés, d’autres s’y sont réfugiés pour se protéger et Paul III l’a transformé en palais.   Un couloir : « le passeto » le relie au Vatican. Lors du Risorgimento le Castel Sant’Angelo marque la fin de la domination pontificale. Il renferme actuellement un musée. 

Nous passons le pont Sant’Angelo pour rejoindre  la rive gauche du Tibre. Sur son parapet les sculptures du Bernin et de son école…

Nous longeons le Tibre et ensuite rejoignons la  piazza Navona qui conserve la forme du stade de Domitien sur lequel elle est construite.  Elle ne doit pas son nom qui évoque en italien une « grosse nef » mais à son nom antique « in agones » (déformé en nagone puis navone et navona)  qui  signifie « lieu où se déroulent les jeux ».

Nous atteignons en premier la fontaine de Neptune puis rejoignons celle des « quatre fleuves ». Cette fontaine est réalisée par l’architecte Le Bernin et les fleuves symbolisent les quatre parties du monde : Le Danube représente l’Europe, le Nil l’Afrique, le Gange l’Asie et le Rio de la Plata l’Amérique. Au centre se trouve une obélisque qui semble avoir été posée sur le vide. On remarque une grotte aménagée sous sa base. Toute seule cette fontaine est un spectacle…. 

Nous continuons par la fontaine du Maure et essayons de rejoindre le Panthéon.

Le Panthéon à l’ origine était un temple dédié à toutes les divinités de la religion antique, depuis le VIIe siècle il est converti en église chrétienne. C’est le plus grand monument romain antique qui soit pratiquement intact du fait de son utilisation ininterrompue jusqu’à nos jours. Il supporte une des plus grandes coupoles d’Europe et c’est son ouverture qui apporte la  lumière intérieure. Il est utilisé comme tombeau depuis la Renaissance. Nous y trouvons celui de Raphaël, et de Victor Emmanuel II….

Nous sommes quelques uns à jeter une pierre à la fontaine de Trévi afin de revenir à Rome. Sûrement pas pour y retrouver notre pièce car elles sont  toutes collectées et envoyées à des œuvres de charité qui se partagent… près d’un million d’euros par an.

Après une courte pause déjeuner nos contournons le monument dédié à Victor Emmanuel II sur la Piazza Venezia. Nous aurions aimé visiter le musée del Risorgimento suite à ce que nous avions appris lors des Jeudis de La Culturothèque mais… l’heure tourne trop vite.

Nous nous retrouvons sur la plus petite des sept collines de Rome : Le Capitole. La colline permettait aux Romains de contrôler la traversée et la remontée du fleuve.

A ses pieds s’étendait jadis une petite plaine marécageuse qui, après assèchement, devient le "Forum Romanum" traversé par la "Via Sacra" qui conduisait à la colline du Capitole. Nous avons à nos pieds une vue d’ensemble  de ce qui pouvait exister avant les différents incendies qui l’ont détruit pour qu’il soit abandonné progressivement à partir du VIIe siècle.

Nous essayons d’apercevoir le Colisée mais nous n’avons pas le temps de le visiter.

Un groupe prend le « 40 express » qui nous amène très rapidement à la place St Pierre… d’autres au pas de charge prennent  les grandes avenues pour rejoindre le « Campo  Fiori » où le marché tire à sa fin sous la surveillance de la statue de Giordano Bruno. Les baignoires des thermes de Caracalla nous surprennent mais pas autant que le Palais Farnèse construit par Michel Ange.

Il y a une longue file d’attente pour la basilique St Pierre… mais ça valait la peine !

Voilà une journée bien remplie… pas tout à fait. Un peu de repos dans le bus et à nous la fête jusqu’à 1 ou 2 h du matin !

VOIR ICI QUELQUES PHOTOS DE LA VIE SUR LE BATEAU.

Nous ne vous raconterons pas la vie sur le Bâteau... La Croisière s'Amuse !

QUELQUES PHOTOS DE NOTRE EXCURSION A PALERME.

Palerme raconte l’histoire de la Sicile. Les Normands, Charles d’Anjou et l’expédition des Mille de Garibaldi  pour tomber dans les mains de la mafia. Pauvre Palerme et pourtant si attachante…

Notre promenade nous fait aller au cœur d’une ville assez anarchique où la pauvreté s’étend vers le sud mais qui reste une ville avec son histoire derrière elle et ses magnifiques palais…

Tout d’abord nous arrivons au Théâtre Politeama Garibaldi et son architecture néo classique nous surprend, construit un peu avant le célèbre Téatro Massimo, ils sont les monuments de l’unité Italienne.

La Cathédrale, remaniée de nombreuses fois avait été construite par les musulmans convertis et l’on y voit le style « arabo-normand » propre à la Sicile (les artisans arabes ont continué à travaller à l’arrivée des normands).  L’intérieur est un peu décevant mais nous nous intéressons en cœur au gnomon….

Nous ne pouvons pas entrer dans la forteresse d’origine arabe, elle aussi, et agrandie par les normands car elle est fermée. Nous sommes un peu déçus de ne pouvoir visiter la chapelle Palatine qui serait une merveille architecturale à ce qu’on dit. Le Palais des Normands abrite aujourd’hui le siège du parlement de la région autonome de Sicile.

Nous descendons la rue Victor Emmanuel II et nous passons devant « St Guiseppe » mais nous sommes plutôt intéressés par la décoration un peu « Kischt » des façades ou des vitrines.

La Piazza Bellini nous plonge dans l’orient avec la Martorana, San Cataldo et Santa Caterina… à chaque angle de l’intersection une statue d’une sainte de Palerme protège son quartier.

Devant l’hôtel de ville (Palazzo Pretorio) trône la fontaine Pretoria. Ses statues représentent des nymphes et des divinités marines dont la nudité a choqué les palermitains qui lui donnent le nom de « fontaine de la honte ».

Nous reprenons notre circuit qui nous amène à la rue de Rome ou chacun se disperse pour profiter des quelques heures qui nous restent avant l’embarquement sur le bateau. ..

QUELQUES PHOTOS DE L'ANNIVERSAIRE DE GISELE.

Aujourd'hui c'est l'anniversaire de Gisèle. Il y en a qui font semblant de l'oublier... pour que la surprise préparée quelques jours auparavant fasse son effet. 

Emotion, larmes, rires... levons le verre à Gisèle.

Levons le verre à cette belle amitié !

QUELQUES PHOTOS DE NOTRE EXCURSION A CAGLIARI

Au sud de la Sardaigne autonome Cagliari a été colonisée dans l’antiquité par les Phéniciens qui lui ont donné le nom de Kar el qui veut dire « ville de Dieu ». Par la suite les romains lui ont donné le nom de Calaris (dérivé de Karalis qui désignerait la pierre ou le rocher).  C’est vrai que pour visiter la ville ancienne il faut monter un peu. Certains rechignent, nous optons donc pour une visite guidée en taxis.

Alphonse, notre guide, nous conduit tout d’abord à la Basilique Notre-Dame de Bonaria fondée suite à la découverte d’une caisse échouée près du port de Bonaria. Cette caisse provenait sûrement d’un voilier espagnol et a été ouverte par des religieux qui y trouvèrent une statue de la Vierge qui tient l’Enfant Jésus dans la main gauche et une chandelle dans la droite (la légende dit que la chandelle était allumée … ). Aussitôt la Vierge est vénérée dans toute l’île, surtout parmi les marins qui l’invoquent comme protectrice. Ce serait en hommage à  la Vierge de Bonaria que la capitale de l’Argentine a été nommée « Buenos Aires ». Elle est depuis le début de notre siècle la Sainte Patronne de la Sardaigne.

Notre guide nous entraîne vers la plage pour nous montrer la « selle du diable » reconnaissable de tous les angles de la ville. Il nous raconte aussi la légende des anges vainqueurs mais nous sommes très dubitatifs lorsqu’il nous parle des déchets radio-actifs du centre de l’île… Comme nous jouons un peu les blasés lorsqu’il nous emmène dans les étangs voir les flaments roses : c’est sûr nous en avons de plus beaux en Camargue.

Là, voyez vous, nous sentons que nous devons montrer un peu plus d’anthousiasme car leur « quelques flaments » sont très importants.

Nous jouons le jeu et aussitôt l’ambiance change surtout lorsque nous arrivons à un point panoramique où la mer, les étangs d’un côté et Cagliari de l’autre nous offrent leurs images de cartes postales…

Retour dans la ville où nous arrivons à temps pour pouvoir visiter la Cathédrale Sainte-Marie de Cagliari qui nous séduit totalement avec ses belles décorations. Mais voilà qu’Alphonse nous raconte qu’un Evêque de Sardaigne, Lucifer Calarinatus (A-t-on idée de s’appeler Lucifer pour un Evêque ?), avait créé un shisme en 354 avec une attitude intransigeante de refus  par rapport aux chrétiens convertis  à la foi catholique après avoir abandonné la foi arienne. Nous trouvons dans la Cathédrale la chapelle en son honneur appelée « Chapelle de Saint Lucifer »…

Après ces belles légendes notre guide nous abandonne et chacun poursuit la visite à son rythme.

Le musée archéologique, l’amphithéâtre romain, le jardin botanique mais aussi le quartier fortifié du château, les quartiers de Stampace (des bourgeois et des marchands), Marina  (des pêcheurs et matelots) et Villanova (des bergers et des paysans) sont visités après avoir goûté aux sandwichs sardes et savouré les derniers cafés corsés italiens…

 

VOIR ICI LES PHOTOS DE NOTRE EXCURSION A PALMA DE MALLORQUE

Au revoir l’Italie, bonjour l’Espagne…

Un bus nous laisse près du Passeig des Born que nous prenons pour rejoindre la Cathédrale qui domine le front de mer de son élégante et originale silhouette scandée  par les lignes verticales des contreforts surmontés de pinacles.

Lorsque nous pénétrons à l’intérieur nous sommes surpris du dépouillement de la décoration qui accentue l’effet de légèreté et d’espace.. .  et sans difficulté nous repérons la chapelle royale avec en son centre l’anorme baldaquin en fer forgé que nous avait montré Janice en nous initiant à l’œuvre de Gaudi.

Nous décidons d’une visite du quartier et nous sommes impressionnés par la beauté de l’Almudaina remaniée par les rois de Majorque pour en faire leur palais. Nous cherchons l’Ayuntamiento à la place des Cort mais nous remarquons les échaffaudages qui sont installés pour sa rénovation… La nef gothique très dépouillée de Ste Eulalie nous surprend au détour d'une rue ainsi que la belle rosace plateresque et le portail baroque de l’Eglise Sant Francesco. Intrigués par ce bel édifice nous essayons d’y entrer et c’est le cloître qui nous frappe par son élégance. Galerie aux baies tréflées, arcades découpées en plusieurs lobes… nous sommes concients d’une œuvre originale…

Dans la carrer del Sol, nous trouvons la magnifique Casa Marqués del Palmer à la décoration Renaissance près du quartier juif de la Portella. Nous entrons dans les « Banos arabes » seul témoin de la présence musulmane à Palma… et, nous revenons  vers la Cathédrale par les remparts longeant la mer.

Une surprenante visite !

 VOIR ICI LES PHOTOS DE NOTRE EXCURSION A BARCELONE.

Dernière escale, dernier jour…

Beaucoup d’entre nous connaissent Barcelone et décident  donc de découvrir à leur gré quelques musées…

Pour les autres c’est la « Rambla » avec son marché de la « Boqueria », le quartier Gotic avec la Cathédrale, le cloître, la place St Jaume, le palais royal et la chapelle Ste Agathe. Un petit tour vers le Palais Guell, juste pour le plaisir mais celui-ci est en travaux jusqu’à fin avril…

Un petit sandwich sur l’avenue célèbre et c’est reparti pour une visite de la Sagrada Familia en taxi, le Park Guell  en métro. Il y en a qui vont à Montjuïc et visitent le jardin botanique, d’autres se promènent sur les « Ramblas de la mer »… Le soleil est tellement bon…

VOIR ICI QUELQUES PHOTOS DE NOS MOMENTS PASSES SUR LE BATEAU...

Un air printanier nous a été joué durant toutes ces journées d’escales…

Il en est pas de même lorsque nous débarquons le lendemain à Toulon (à la place de Marseille car les dockers  sont en grève), le temps est tout gris, il fait froid… Heureusement sur le chemin nous remarquons les mimosas et les amandiers en fleurs… Nous pensons à nos prochaines randonnées.

NOUS LAISSONS CHRISTINE NOUS CHANTER COMME "C'EST BEAU LA VIE" !

 
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