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LA BAUXITE Convertir en PDF Version imprimable Suggérer par mail
22.03.2017 - ... des Baux, bien sûr !

VOIR ICI LES PHOTOS DE NOTRE RANDONNEE AUX BAUX DE PROVENCE

A côté de notre parking nous trouvons le « Pavillon de la Reine Jeanne ». Un petit kiosque en pierre bien calé dans l’angle d’un jardin. Ce « temple de l’amour romantique » a été offert par un l’époux de Jeanne de Quiquéran (qui n’a rien avoir avec une des reines Jeanne…)  pour lui témoigner  son amour ! Frédéric Mistral a fait construire une réplique de ce pavillon pour son tombeau dans lequel il repose au cimetière de Maillane… mais il n’est pas le seul, car un certain Gustave Trasenster, directeur général d’une société Sidérurgique, a fait lui aussi construire une réplique pour son tombeau dans la ville de Theux… en Belgique !

Nous commençons notre randonnée en passant près de l’ancien lavoir et prenons un sentier bien sympathique pour passer devant le Mas des Adrets et surtout le Mas de la Guerre où s'attarde pour commenter les fleurs.

Ensuite la piste s’évade dans les roches typiques des Baux de Provence avant de nous arrêter devant ce qui pourraît l’entrée d’une mine. Les roches sont bien rouges. Contiennent-elles de l’alumine ? Ce serait donc de la bauxite découverte par le chimiste Pierre Berthier en 1821 au Baux de Provence où a été installé le premier site industriel producteur d’aluminium qui était amené à l’usine de Salindres dans le Gard dès 1860.

Les discussions bien engagées nous poursuivons au milieu des pins, puis longeons une « olivette » pour rencontrer le canal de la vallée des Baux et continuer sur une large piste qui nous amène devant le Mas d’Escanin pour notre pause !

Ah le joli mas d’Escanin…. Et si nous dansions la mazurka ?

Lien pour écouter la chanson de la "Mazurka souto lo pins".

Nous reprenons vers le joli hameau du moulin d’Arcoule, suivre à nouveau le canal  et traverser la route pour s’engouffrer dans un vallon d’  « olivettes » et retrouver notre chemin du départ.

Nous rentrons bien tranquillement après avoir évoqué la maison e d’Yves Brayer et le mas du fameux lion d’Arcoule.

 

 

 
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