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ROQUEMARTINE Convertir en PDF Version imprimable Suggérer par mail
15.10.2016 : La perle des Alpilles !

VOIR ICI LES PHOTOS DE NOTRE RANDO A EYGUIERES

Après avoir traversé Eyguières nous cherchons le parking idéal pour notre balade : au pied du château de Roquemartine. Nous y passons une première fois sans voir le château. C’est que le brouillard est à couper au couteau ce matin, mais nous rectifions assez vite et nous voici sur un chemin qui nous fait passer devant le joli mas de Loc.  

Nous arrivons à un croisement de pistes où nous rencontrons 2 chasseurs un peu dépités : nous leur avons fait manquer deux perdrix.

On n’insiste pas et on continue sur des chemins qui nous offrent des vues grandioses sur la chute des Alpilles avec à ses pied la vallée de la Durance et en face les Monts du Vaucluse, le Mont Ventoux et le Luberon qui émergent doucement du brouillard.

Nous longeons deux mamelons avec de jolis sous-bois et de nombreux champignons… Blancs ! Aussi blancs que la jolie colombe blessée sur sa branche.

Ravis de ces beaux paysages on continue jusqu’à la chapelle ruinée de Notre-Dame mais c’est la vue sur le château au loin qui nous intéresse…

On continue ainsi dans de jolies pistes ou sous-bois jusqu’à bifurquer pour monter sur une crête. Aurions-nous vu la mer ? Un poisson qui vole ? Le panorama est large et la vue sur les Alpilles et la Tour des Opiès (prononcer opio) nous enchante aussi toujours autant.

C’est donc par ce sentier en crête que l’on arrive au château  de Roquemartine. Un castrum, aussi appelé « château de la Reine Jeanne » est attesté au XIIème siècle. Il se dresse au sommet de hautes falaises dénudées aux pentes herbeuses sûrement fréquentés par des troupeaux de moutons… aujourd’hui nous ne croisons que deux joggeurs.

On y arrive par l’église Saint Sauveur qui a été autrefois l’église paroissiale du bourg de Roquemartine, rattaché à la commune d’Eyguières en 1805.

On visite l’ensemble de ce qui reste du château et de l'église, puis on s’installe au soleil pour le repas. C’est qu’il fait chaud ! Les pâquerettes s’émoussent et l’alyssum répand sa bonne odeur de miel… On savoure cette journée printanière ( !)

Le démarrage se fait en douceur, on descend encore pour visiter le curieux pigeonnier et on poursuit sur une petite crête pour retrouver des paysages aménagés par les cultivateurs, quelques « cages à oiseaux » elles aménagées par les chasseurs, pour retrouver notre chemin de l’aller un peu avant le mas de Loc…

 
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