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Rome... Les Anges sont du voyage ! Convertir en PDF Version imprimable Suggérer par mail
Un magnifique voyage, de belles exaltations et un grand bouleversement... mais "Ils sont fous ces Romains !"


Un départ en harmonie bien orchestré par des solistes virtuoses des départs en voyage (!).

Un premier arrêt pour visiter le musée de la Marine de Toulon  et voici les plus solitaires entourés de compagnons bien adaptés pour entreprendre ce périple....

 

La traversée en bateau est un peu difficile pour un ou deux condisciples et le débarquement s'effectue sous la pluie.

Il en faut plus pour ébranler l'enthousiasme des Anges de La Culturothèque !...

Patricia nous attends sur la Piazza Venezia et José nous amène à la découverte  du monde impitoyable et cruel de Rome : à notre portée les secrets du monde Romain, la Catholique nous en met plein la vue et les artistes de la Renaissance vont nous dévoiler leurs mystérieux talents ! Ce programme est étourdissant !

 

C'est avec bonheur que nous découvrons notre lieu d'hébergement et le gîte de la Maison du Bon Pasteur nous rassure pour les jours à venir....

 

C'est assez tôt, pour  un samedi matin, que nous retrouvons nos guides pour la visite de la Villa Borghèse... Une entrée remarquée : les Romains n'avaient  jamais vu un chauffeur de bus si attentionné pour laisser les passagers devant  la billetterie. Grands éclats de rires aussi de nos guides !

Dans la Villa Borghèse des artistes nous interpellent dare-dare dans un chambardement assez peu conformiste....

C'est le cas surtout du sculpteur dit Le Bernin. Il faut faire le tour des sculptures pour en comprendre le sens. Pour l'Enée et Anchise un homme mûr fuit l'incendie de Rome. Il porte son père sur ses épaules et est porté lui-même par son fils Enée. Cette statue fonde la représentation d'un arbre généalogique magnifique.

 

L'oeuvre d'Apollon et Daphné atteint un summum esthétique : Le Bernin arrive à capturer le moment précis de la mise en abyme dans une scène pleine de vie. Ne voit-on pas la joie d'Apollon saisissant enfin Daphné qui se fige dans une écorce protectrice et s'enracine dans la terre pour se transformer en laurier... On ne peut qu'admirer la tension dramatique et l'impression de mouvement donnée par cette construction en spirale...  On surnomme Le Bernin le second Michel Ange...

Nous sommes éblouis par tous ces artistes... RaphaëlGhirlandaio, Le Corrège, Léonard de Vinci, le Pérugin, Botticelli, Le Titien, tous ceux que nous avons étudié ces dernières années aux Jeudis de La Culturothèque. Fabuleuse découverte que de pouvoir approcher et admirer leurs oeuvres !

 

C'est pourtant le Caravage qui nous interpelle le plus... son oeuvre est puissante. Elle était novatrice et a révolutionné la peinture du XVIIe siècle par son caractère naturaliste, son réalisme et aussi... son érotisme troublant. Nos guides soulignent l'invention de la technique du clair-obscur.

C'est un artiste qui a mené une vie dissolue, riche en scandales provoqués par son caractère violent et bagarreur. Il a fréquenté des bas-fonds et des tavernes. Sa sexualité lui a attiré de nombreux ennuis avec la Justice, le Pouvoir et... l'Eglise.  Sa réputation sulfureuse nous captive mais nous savons qu'il a trouvé dans son art une sorte de rédemption à toutes ses turpitudes !

 

A quand le déjeuner ?

Pas encore, nous traversons les Jardins Borghèse, atteignons le Pincio qui met Rome à nos pieds.

Un petit bonjour à la Villa Médicis

et nous descendons les escaliers de la Trinité des Monts

 

pour atteindre la Piazza di Spagna et le rendez vous est donné par les guides pour nous retrouver après un déjeuner assez frugal près de la fontaine de la Barcaccia.

 

Nous réglons assez difficilement nos "Whispers" et nous voici à déambuler dans les rues animées.

Un aqueduc souterrain, La Fontaine de Trévi qui doit son nom, paraît-il à Trévi qui aurait sauvé sa virginité en indiquant l'emplacement de cette source... Comme tous les touristes nous rêvons de rejouer la scène de la Dolce Vita mais nous repérons rapidement les policiers prêts à nous sauter dessus si l'idée ne faisait pas que passer dans notre tête. 

 

Nous aussi nous jetons une pièce en tournant le dos à la fontaine : nous voulons revenir à Rome  ! Nous  trouvons beaucoup de charme à cette fontaine, en tout cas plus qu'au vase sculpté dans la pierre que le barbier avait fait installer pour ne plus la voir de son échoppe....

 

Le circuit se poursuit, l'Eglise St Ignace et sa fausse coupole donne un peu de confort à nos jambes fatiguées...

Le Panthéon lui nous surprend par sa coupole en "courants d'air". ..   L'Eglise de tous les Dieux !

Michèle distraite par le tombeau de Raphaël oublie de leur adresser ses prières....

Piazza Navona est prise d'assaut : c'est la journée des femmes. Une manifestation s'y déroule. Nous plongeons dans la vie quotidienne des Romains et leur problématique : la vie est plus difficile qu'en France.

Certains retrouvent José pour rentrer à Domus Aurélia. D'autres continuent leur découverte. Il pleut mais le soleil est éblouissant.

Le Capitole est fabuleux éclairé de cette lumière inattendue.

Un coup d'oeil plongeant dans le Forum vaut la peine. Ne nous y attardons pas car nous y reviendrons lundi.

 

Et pourquoi pas découvrir Moïse ?

Voilà une bonne idée. C'est sûr l'arrivée à l'Hôtel est difficile, même pour les randonneurs habitués à arpenter les chemins.

Une journée bien remplie : il faut une bonne nuit de repos pour récupérer !

 

On essaye d'imaginer Tivoli dans le bus, la Villa d'Este quelques uns la connaissent :

 ils sont heureux d'y retourner :  un enchantement paraît-il.  ... Nous ne sommes pas déçus....

la villa avec son palais et son jardin est un chef d'oeuvre témoignant du plus remarquable de l'architecture italienne.

Ses jardins sont incomparables !

 

Nous comprenons pourquoi elle fait partie du Patrimoine Mondial.

 

Nous sommes sous le charme de ce havre de paix qui joue avec la lumière et l'ombre et le mariage des jeux d'eau et de la végétation avec douceur et aussi beaucoup de hardiesse....

 

A la villa Hadriana nous découvrons l'imagination grandiose de l'empereur Hadrien.

On peut visiter 300 hectares du site aujourd’hui qui ne représentent pourtant que le 5ème de l'aire globale de l'époque !

C'est très difficile de se rendre compte de l'aspect original de cette villa... qui avait la taille d'une ville. On sait qu'il en a conçu lui-même les plans et que les bâtiments évoquent des lieux qu'il a admiré au cours de ses voyages...

Une grande émotion nous a surpris en découvrant le Canope. Les statues de personnages mythologiques se reflétant dans les eaux du canal de 119 mètres nous expliquent la signification de cet endroit mystérieux qui a constitué un hommage personnel d'Hadrien à Antinoüs.

Le bassin allie les cultures latine et égyptienne et représente la mer Méditerranée qui de Rome aboutit à l'Egypte.... Notre guide essaye de nous faire imaginer les banquets d'apparats qui s'y tenaient...

 

La découverte de ce lieu, vaut à elle seule, un déplacement du bout du monde !....

 

Encore imprégnés de la quiétude et de l'immense beauté des lieux, heureux de leurs illuminations, nous nous retrouvons à Casa Bonus Pastor pour un repas chaleureux et amical...

Le bonheur ne peut durer dit-on. C'est vrai ce lundi matin. Les vendeurs de parapluie sont à l'abordage du bus. Ils dépannent quelques uns d'entre nous. Les conditions ne sont pas vraiment favorables pour la visite du Forum.

San Pietro in Vincoli nous offre l'hospitalité quelques minutes, le temps d'admirer le tombeau du Pape Jules II réalisé par Michel Ange. La statue centrale est l'un des chefs d'oeuvre de Michel Ange et représente Moïse les doigts dans sa barbe, le corps musculeux et puissant. Il tient sous son bras droit les tables de la loi. Il porte aussi des... cornes !

Courageux nous allons jusqu'au Colesseo qui est en état de... ruine, surtout en raison de dommages causés par des tremblements de terre et de la récupération des pierres. Le Colisée est le symbole de la Rome Impériale. Il pouvait accueillir à l'origine près de 50 000 spectateurs et a été utilisé pour les combats de gladiateurs mais aussi pour d'autres spectacles : des chasses d'animaux sauvages, des exécutions publiques, des drames basés sur la mythologie romaine mais n'aurait pas été utilisé pour des simulacres de batailles navales. Il n'a plus été utilisé au Moyen Âge puis des maisons s'y sont installées, des artisans aussi. Il a servi de forteresse et a même été le siège d'un... ordre religieux.

 

La pluie est toujours aussi soutenue, nous nous réfugions dans une église ou nos guides essaient de nous inciter à imaginer le forum. Nous tentons le Capitole mais la pluie est trop violente. Nous appelons José au secours qui nous entraîne à l'abri de son Cheval (pardon) son..  Bus blanc... Un bon repas... le soleil qui revient :

nous entrons au Musée du Vatican.

 

A l'abri, nous profitons des cinq siècles de ces collections d'art et qui sont les plus visitées au monde. 11 musées au Vatican. Nous n'allons pas pouvoir tout voir c'est sûr.

Nous sommes séduits par la cour octogonale aux huit chapelles dont une contient le Groupe du Laocoon  qui est une sculpture grecque antique qui représente le prêtre troyen Laocoon et ses deux fils attaqués par des serpents sortis de la mer.  Cette scène est aussi représentée dans l'Odyssée et l'Enéide. Elle est l'oeuvre la plus représentative de l'art hellénistique dont Tite Live disait que c'est l'oeuvre qu'il faut préférer à toute la peinture et toute la sculpture....

Nous sommes toutefois un peu déçus de la chapelle Sixtine :

beaucoup de monde, du bruit et surtout les flashs des appareils photos nous incommodent...

 

Nous trouvons quand même de l'intérêt dans les fresques de Michel Ange ainsi qu'à celles de Botticelli, Raphaël, Ghirlandaio, le Pérugin.... 

Nous entrons par un couloir dérobé dans la Basilique St Pierre qui se trouve à l'emplacement supposé de la tombe de St Pierre.

Nos rois Pépin le Bref et Charlemagne sont intervenus pour créer un palais impérial et c'est sur la pierre ou Charlemagne a été sacré Empereur que Luciana nous raconte l'histoire de ce monument....

 

En sortant nous nous plaçons sur un petit disque de marbre blanc tracé au sol et nous constatons que l'on aperçoit qu'un seul rang de colonnes sur la place alors... qu'il y en a quatre. 

 

Il pleut encore (Michèle n'a pas prié au Panthéon... ). Plusieurs d'entre nous s'engouffrent dans de sympa Trattorias pour passer une soirée très amicale... d'autres,  décident de rentrer à l'Hôtel en prenant le bus...  en sens inverse pour un tour supplémentaire dans Rome !

 

Mardi matin le temps et couvert mais à notre grand bonheur le soleil arrive pour une belle journée. Aujourd'hui chacun est libre de ses visites. Toni amène un groupe visiter la Villa Giulia et leur fait découvrir la civilisation étrusque.

Nous y retrouvons le sarcophage des "Epoux" qui avait laissé un souvenir lors de sa conférence aux Jeudis de La Culturothèque.

Nous sommes heureux d'y retrouver aussi l'Apollon de Véiès, le centaure de Vulci...

Les bijoux sont fabuleux et les vases en bucchero font l'admiration de chacun de nous.... C'est Jules III qui a fait construire ce palais et nous pouvons aussi nous promener dans la cour décorée de stucs, de fresques, voir un nymphée décoré de mosaïques romaines.... et nous ne sommes pas insensibles aux magnifiques camélias qui fleurissent dans tous les coins du jardin.

 

Le Castel St Angelo, décidé par l'empereur Hadrien en 135 pour égaler le tombeau d'Auguste nous séduit aussi. N'avons nous pas entendu parler de ce monument emblématique de l'histoire de Rome à diverses occasions, les Jeudis, car il a souvent été le refuge des Papes et des grands de l'Histoire... Au XVIème siècle, il a été le refuge du pape Clément VII qui fuyait les troupes de Charles-Quint.

 

Paul III en en fait  également ses appartements et lui apporta un luxe propre à la vie des papes de l'époque. 

 

Le château tire son nom de la légende selon laquelle l'ange Saint Michel serait apparu à Grégoire le Grand à cet endroit au VIe siècle.

 

L'Archange, en remettant son épée au fourreau, annonçait la fin d'une épidémie de peste. C'est pourquoi une statue de l'ange en bronze trône au sommet du monument.

 

En le quittant  nous empruntons le "Ponte Sant'Angelo" sur lequel ont été placées deux statues de St Pierre et St Paul ainsi que dix statues d'anges sculptées par l'école du Bernin.

Les adhérents de la Culturothèque continuent leur découverte, certains se dirigent vers la Piazza Navona et en profitent pour une pause repas, en terrasse, sensibles à l'animation joyeuse qui s'y déroule.

 

D'autres prennent le métro pour rejoindre St Jean de Latran et visiter la basilique Santa Maria Maggiore dont la légende raconte qu'en août 356 la Vierge aurait demandé d'ériger un sanctuaire sur l'emplacement où il avait neigé pendant la nuit, sur la colline Esquelin.

 

Il y en a qui profitent de leur temps libre pour découvrir le Forum et le Palatin dont la visite avait été empêchée lundi matin.

 

C'est un vaste (le mot n'est pas de trop) espace regroupant de nombreuses ruines de l'époque romaine. Ce site est situé dans une dépression marécageuse qui a été asséchée vers le VIe siècle Av. J.C.

 

Des bâtiments publics y avaient été construits et il est devenu rapidement le centre religieux, politique et judiciaire. S'y trouvaient entre autres, le sénat, la tribune aux harangues, le temple de Saturne, de Castor et Pollux, de la Concorde et plusieurs basiliques, qui rappelons le avaient du temps des romains un rôle commercial et judiciaire.

 

Bien sûr il ne faut pas manquer la colline du Palatin qui est une des parties les plus anciennes de la ville. Elle est devenue un immense musée en plein air... La légende dit que Rome a été fondée sur le Palatin, la visite des fouilles montre que des populations y habitaient déjà vers 1000 Av. J.C.. C'est le lieu ou Romulus et Remus ont été trouvés par la louve qui leur a sauvé la vie. C'est ici que Romulus a fondé la "Rome Carrée".

 

Plus tard la colline a été habitée par des nobles et riches romains attirés par sa splendide position : on domine totalement la ville actuelle de Rome...

Un petit conseil : si un jour vous revenez à Rome, garnissez un sac à dos de provisions, achetez un bon guide avec plan et explications et passez la journée à visiter le Forum et le Palatin !

 

Le soir nous sommes tous au rendez-vous donné à la Trattoria Laganà qui nous permet de découvrir un quartier sympathique. Nous le parcourons pour notre grand bonheur lors d'une jolie promenade digestive avant de retrouver José qui nous amène découvrir Rome la nuit sur un trajet concocté par Toni.... 

 

Mercredi matin nous sommes tous à l'heure au rendez-vous avec nos valises. Nous voulons profiter au maximum de cette journée qui s'annonce sous de bons augures : nous avions consulté les aruspices la veille !

 

La vieille légende veut que la fondation d'Ostie ait été à l'endroit où serait débarquée Enée, dont les descendants ont été appelés "Les Latins". Vers 630 av. J.C. le quatrième roi de Rome a décidé de contrôler le Tibre afin de donner à Rome un débouché sur la mer et pour s'emparer des salines. Au départ cette cité était appelée Cologne mais par la suite dérivé de "ostium" (embouchure du Tibre) elle prend le nom de Ostie

Si la position de la première installation reste incertaine pour les archéologues, elle l'est d'autant plus pour José qui a quelques difficultés pour en trouver l'entrée. 

 

Notre bonne Etoile met sur notre route un "Papé" bien sympathique qui nous montre le chemin en pédalant à toute vitesse sur son magnifique... vélo !

 

Sans encombres nous pouvons parcourir le decumanus et imaginer les portes qui s'ouvraient de cette puissante cité navale et commerciale qui permettait de faire transiter les marchandises nécessaires à la population Romaine. Ostie comptait plus de 50 000 habitants, tous armateurs, marchands, artisans, marins, fonctionnaires...

Nous arrivons à repérer ces différents métiers grâce aux nombreuses mosaïques... Le commerce le plus important était, bien sûr, celui du grain.

 

La ville était construite, comme toutes les villes romaines, sur un plan simple avec le forum (au centre), la curie, le temple capitolien, les thermes du forum, sans oublier... les latrines...

 

Le déclin d'Ostie a eu plusieurs causes, mas Patricia nous précise que c'est surtout dû à la Malaria, à la baisse du commerce à Rome par la création de Constantinople et du développement de l'empire d'Orient et l'ultime raison : l'arrivée des Barbares qui oblige la population à quitter la ville.

Pour nous, c'est l'idée de trouver une bonne pâtisserie à Cerveteri, qui nous "oblige" à quitter cette belle cité.

 

Cerveteri disposait aussi de 2 ports et était une des plus importantes cités étrusques dont rayonnait le commerce et la culture... c'est ici que l'on retrouve l'origine du Bucchero dont Toni nous a fait découvrir le raffinement de ces céramiques, d'un noir brillant et dont certaines ont été exportées jusqu'en Grèce.

 

Toni nous a précisé que la plupart des informations que nous avons sur les étrusques proviennent de leurs nécropoles car, dans cette civilisation la vie après la mort était encore plus importante que celle avant la mort. On peut le constater en visitant celle de Cerveteri : une véritable ville comportant tout d'une cité de vivants (quartiers, rues places, etc..).

 

Tout dans les tombeaux monumentaux rappelle les habitations : on y trouve des sièges, des lits, des objets d'usage courant comme des ustensiles de cuisine et... même des fenêtres ! Ces constructions sont grandioses, les décorations et les scènes sont détaillées de la vie quotidienne. On y a découvert des bijoux d'or, de la vaisselle d'argent des plaques d'ivoire... On peut y retrouver ainsi l'art des étrusques.

 

La nécropole aux dires de Massimo s'étendait sur une superficie de 400 hectares et leur utilisation a duré du 7e siècle jusqu'au 1er siècle Av. J.C.. Massimo choisit des Hypogées, que l'on appelle ici Tumulus, d'époques différentes sur la Voie des Enfers et ses explications nous permettent d'imaginer la population d'une des plus célèbres lucumonie de la confédération étrusque au fil des siècles...

 

Nous sommes sensible à l'ambiance particulière que renferme la nécropole de Cerveteri : il y règne un grand silence et l'on entend le vent dans les immenses pins parasols.

Nous y ressentons aussi une impression d'intimité qui se mêle à une impression comme dans une ville pour les vivants qui a été abandonnée...

Cela est un peu étrange...

On est un peu transporté dans un autre monde.

L'endroit est merveilleux....

 

Lorsque  nous remontons dans le bus nous sommes encore sous l'impression de calme et de bonheur ressentis lors de cette visite. Pour nous remettre de nos émotions José nous a préparé une surprise avant l'embarquement : il nous offre l'apéritif qui est fort apprécié.

Détendus et heureux de notre séjour Romain nous nous laissons aller à quelques chansons...

 

La traversée sur le bateau est aussi agréable qu'à l'aller à part pour quelques uns qui ressentent le mal de mer... mais les conversations débagoulant notre séjour, la lecture de documents sur les sites visités et les parties de cartes... agrémentent  superbement ces instants paisibles et heureux !

Le débarquement se fait sous un soleil magnifique et nous reprenons le bus pour un trajet en chansons et en belle amitié jusqu'à Beaucaire....

 

Chuttt.... 

 
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