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LE VALLON DES AMANTS Convertir en PDF Version imprimable Suggérer par mail
22.02.2016 - Les Farceurs des Amants !

VOIR ICI LES PHOTOS DE FRANCOISE.

VOIR ICI LA VIDEO D'HUBERT.

Quinze randonneurs partent du lac d’Entreconque, cette ancienne carrière de Bauxite,  transformée en lac, dont le niveau de l’eau varie au gré des précipitations.

On s’engage, dans le vallon rouge, bordé de rochers, puis d’oliviers, que nous quittons rapidement pour monter entre les Trincades et  les Gypières, offrant selon les courbes et altitudes différents points de vue sur les Alpilles.

La météo n’était pas complètement solidaire avec nous, et rapidement de grosses gouttes de pluie arrivent,  alors, « branle bas de combat » toutes et tous, mettent et ajustent  les capes, et nous repartons.

Mais le ciel est un grand farceur, car quelques minutes plus tard la pluie cesse, alors nous enlevons les capes ; et non satisfait d’une seule plaisanterie,  le ciel recommencera un peu plus tard.

Nous montons plein nord entre le grand vallon, et la crête des grands Calans, il ne faut pas oublier de lever les yeux, en face nous avons le plateau de la Caume, à gauche au delà des grands Calans, les Baux de Provence, plus au sud Maussane les Alpilles, c’est  magnifique même si c’est un peu brumeux.

Mais il faut aussi faire attention ou l’on pose les pieds, car un peu de partout, les chenilles processionnaires occupent le sentier.

Nous arrivons à la citerne des Amants, compte tenu de la fatigue de chacun, certain attendrons près de la citerne. Nous sommes, huit à « plonger » dans le vallon, pour une vue sauvage, et impressionnante, la descente est très rude, arrivés au fond nous effectuons une boucle, qui remonte ensuite « et quelle montée » sur le vallon.

Peu après nous sommes à nouveau vers la citerne, et nous pouvons nous restaurer tous ensembles, et déguster 3 cakes faits maisons. Pas de  sieste car la fraicheur est trop dissuasive.

Nous rentrons sur un sentier qui plonge sous la crête des grands Calans, et plus bas le péage des Poulettes. Nous sommes admiratifs devant la beauté des globulaires d’un bleu parfait, et apercevons quelques timides et nouvelles fleurs de cistes cotonneux.

Nous arrivons dans un champ cultivé, ou se dressent des oliviers, nous effectuons une petite pause, avant de terminer.

Le ciel n’est pas le seul farceur aujourd’hui, Martine en rangeant sa cape dans son sac à dos, découvre …. cinq à six cailloux  à l’intérieur !!!  Les éclats de rires de Néné sont suspects. Devinez qui est le deuxième farceur ?

Ainsi, c’est dans la bonne humeur, que  nous rejoignons nos voitures.

Guy R.

 

 

 
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